C'est une rude montée depuis chez moi, environ 300 mètres de dénivelé sans interruption

et ce jour-là il y avait encore de la neige dans les chemins caillouteux,

ce qui parfois provoquait quelques petites glissades sans conséquence.

Toute la montée se fait en forêt et à chaque croisement de  sentiers, Mira m'attend pour savoir où je vais.

Parfois elle se méprend sur ma destination et part dans le mauvais sens.

Bien entendu, je ne dis rien et deux minutes plus tard, la voilà qui me cherche... Et me retrouve !

Elle n'a qu'à faire attention !

 

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Arrivée là-haut c'est la grande envolée...

 

 

 

Tout au fond, en plan rapproché, le Mont Blanc.

Puis redescente...

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