Une balade sur mes anciennes terres, celles où je me promenais du temps où Aramis (et moi par la même occasion) était plus jeune.

A cet endroit le portable ne passe pas, on est coupé du monde, je n’y ai rencontré personne,

 

hormis les feuilles et fleurs qui seront emportés aux prochaines intempéries prévues.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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