Nous étions donc redescendus de 2 500 m à San Pedro (après être passés à 4 200), à 600 m d'altitude environ pour Santiago

et surtout nous avions retrouvé une humidité  plus conforme à nos habitudes.

Par contre, d'un air pur en haut, nous nous retrouvions dans la pollution des villes.

Nos premiers pas nous ont conduits vers le parc Ines de Suarez, dans le quartier Providencia où nous habitions.

Les enfants les plus jeunes avaient besoin de sortir et courir !

Un parc aux palmiers géants : palmiers "washingtonia", où les jets d'eau jouent avec la lumière pour nous offrir un arc-en-ciel.

                                         

 

La multiplicité des entreprises privées de télécommunications conduisent à ces imbroglios de câbles téléphoniques.

On se demande toujours comment chacun s'y retrouve !

Notre nouveau chauffeur s'appelait Hector et l'après-midi fut consacré à une visite de la ville en voiture,

en essayant en vain, évidemment, d'éviter les manifestations.

Hector avait une haute conscience professionnelle et voulait notre bien-être, on le sentait un peu tendu et nous étions très encadrés,

alors que nous rêvions sans doute  d'aller au plus près de l'actualité du moment. Vivre l'histoire d'un pays, quoi de plus palpitant !

 

Un quartier consacré à la vente de pièces de rechange pour voitures, avec sa multitude de magasins décorés chacun à sa façon.

 

 

Nous croisions aussi des passants munis d'un masque. Il ne se passait rien à cet endroit,

mais nous avons compris pourquoi le lendemain.

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