La vue est dégagée, c’est la plaine. La dernière avant les contreforts des Pyrénées.

 

 

 Monsieur Taureau est bien entouré et l'habitat est cossu.

 

 On repart dans les maïs, il fait chaud.

 Enfin Arzacq, je dors dans un gîte assez particulier. Il est géré différemment des autres: quelques chambres particulières avec douches, des dortoirs et des parties communes. A l'arrivée, il n'y a personne. Mon nom est inscrit sur une feuille à l'entrée avec mon numéro de chambre et je m'installe, fais ma petite lessive comme d'habitude dans une pièce aménagée à cet effet. C'est propre, bien. La responsable, passe, demande le crédencial et fait payer, discute un petit moment et c'est tout. Le repas du soir n'est pas assuré car nous sommes trop peu nombreux et je vais donc dans une pizzeria où je mange des pâtes. Le matin, il n'y a toujours personne pour nous servir. Tout est préparé, chaud grâce aux machines à café, rien à redire mais tout celà s'accompagne d'une certaine froideur, peu convivial en somme, juste très utilitaire.

 L'église d'Arzacq est récente (19ème), en remplacement d'une autre plus ancienne qui fut détruite.

L'intérieur est intéressant avec cette vierge à l'enfant du 16ème, classée.

                                                        

 

Saint Jacques, 6 août, de Miramont à Arzacq Arraziguet, 2ème partie

 Le soir en me promenant...

Demain, on rentre en Béarn

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