Texte: Edmine

Photos: Marton

 

7 et 8 septembre (deuxième partie)

 Les trottoirs sont encombrés de petites charrettes tenues par des indiennes qui pressent des grands jus d’oranges, un peu fades à vrai dire (dixit Edmine car moi, Marton, je les ai trouvés très goûteux), pour 7 bolivianos (90 centimes d’euros).  Leurs petits enfants jouent  ou font leurs devoirs à leurs pieds, avec toujours cette placidité qui nous avait impressionnés d’emblée. Parfois, les bébés dorment sous le chariot, dans une niche aménagée de couvertures.

 

Manifestations presque journalières pour un oui ou pour un non.

 

 

Je ne suis pas du tout convaincue qu'elle dormait: elle observait sûrement et les gens n'aiment pas être photographiés,

c'est pourquoi la plupart du temps je les ai pris de dos.

 

 

 

 

 

 

Pendant tout notre voyage, je n'ai vu quasiment aucun landau ou poussette: les femmes portent leurs enfants soit de la manière traditionnelle, soit dans les bras, emmitouflés dans des couvertures, soit pour les plus modernes dans des porte-bébés.

 

Vue sur une cour intérieure d'une maison cossue

 

Retour à l'accueil