Quand je veux nettoyer les chemins dans la forêt, couper les branches qui gênent, c'est Aramis que je monte.

Cheval calme, que j'arrête quand je veux et qui a tout compris du bénéfice qu'il peut en tirer: il broute, arrache des petites branches, bref, à sa manière, il m'aide presque.

Ce jour-là, nous avons croisé un grumier en plein travail. Je craignais qu'Aramis n'ait peur.

Que nenni! L'ouvrier m'a laissé passer et ma bête a franchi sans la moindre hésitation cet obstacle pourtant impressionnant!

 

Photos du 19 juin.

 

 

 

Grande gentiane

Retour à l'accueil