Nous poursuivons notre chemin vers la chapelle.

Je suis très étonnée de n'entendre aucun oiseau pépier dans la forêt. Sans doute n'est-ce pas l'heure !

Par contre le roulement continue des voitures sur l'autoroute perturbe la quiétude de l'endroit.

Nous passons devant de belles villas près de Solliès-Ville et certains propriétaires décorent le nom de leur maison d'une peinture.

 

Voici l'original

Ce propriétaire a joué avec les noms : une fontaine du village et son nom à lui.

Dans la colline, les bouquets de cistes cotonneux en buissons se succèdent.

Très loin, les Alpes du Sud enneigées.

Et enfin, la chapelle construite en 1660 sur l'emplacement d'une bergerie.

Malheureusement elle est collée par une grande antenne de téléphone, dommage. 

Enfin, c'est la redescente au milieu des terrasses que nous franchissons une à une.

Toujours sous la surveillance du Coudon, omniprésent dans la région. 

Descente raide qui ruine un peu les genoux.

 

 

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