Le lendemain, j'ai voulu retourner au lac Genin.

Le plaisir du lundi matin, sans quasi personne.

Toujours les hockeyeurs, au même endroit, à croire qu'ils sont scotchés à leurs patins et à leur palet

et deux ou trois personnes dont un père qui traînait ses deux petits gamins,

ne sachant qu'en faire : il faut les occuper, me dit-il, leur école est fermée cause Covid !!!

Cette fois je prends plaisir à marcher sur la glace. Par précaution, je me suis munie de crampons.

Le lac est revenu à son aspect primitif : il est redevenu sauvage.

 

L'auberge du lac.

 

 

 

 

(à suivre)

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