C'est à 8h1/2 que notre chauffeur nous a laissés.

Le but était d'arriver à Corcelles mais nous nous sommes arrêtés avant, faute de temps.

La luminosité du matin aux Lésines était douce, avant de subir la chaleur de ces jours-derniers.

Heureusement, les passages en forêt étaient nombreux et fort agréables,

si ce n'étaient les nombreuses mares et la boue liées aux pluies récentes, ainsi que les moustiques.

 

 

Arrivée en vue de la Ragiaz, bien joli hameau aux maisons typiques du plateau d'Hauteville.

A noter les pans de bois qui cachent les dreffias.  Ceci est typique des maisons bugistes.

C'est là qu'on pouvait mettre le bois coupé ou le foin.

Le balisage est toujours aussi succinct, du moins le GR de pays rouge et jaune, ce qui nous vaudra quelques erreurs,

merci la carte et la boussole !

Une sorte de lapiaz

Une curiosité à la Ramaz, ce bac au milieu des routes,

ce devaient être des chemins à l'époque, j'imagine les troupeaux venant boire au retour des prés, avant la traite,

lieu d'un élevage de chèvre et une production de petite fromages délicieux.

 

J'adore leurs petites frimousses !

Les petites pendeloques de cou s'appellent des pampilles et ne servent à rien paraît-il.

De prairies en forêts de sapins bien alignés.

 

Arrivée en vu des Granges du Pommier

Mais où est donc ce Pommier ?

Je n'ai pas la berlue, j'y vois plutôt un très vieux chêne.

Il ne nous restait donc plus qu'attendre notre chauffeur en contemplant la machine à faucher.

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