Il ne reste plus grand-chose à manger dans ce pré derrière la maison alors, Shiloh s’aventure dans les pentes extrêmes pour trouver pitance en attendant que je leur porte le foin du matin. Aramis, lui, plus prudent car moins agile reste dans le petit chemin qu’ils ont formé petit à petit pour se déplacer plus à l’aise.

 

 

Un petit portrait.

Dommage qu'il soit à l'ombre !

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