Nous avons profité d'une accalmie dans les températures pour se promener.

En ce moment, il est un peu difficile de faire des photos riantes.

Tout est sec, archi sec.

En témoignent ces photos :

 

Dans la combe de la Chandeleuse

Le sol qui deviendrait presque un carrelage d'argile.

Des vaches qui meuglent dès qu'on s'approche.

Même si elles ont un râtelier, elles pleurent la verdure.

Mais dès qu'on pénètre dans la forêt, le vert refait surface : les arbres retiennent l'humidité.

D'où l'intérêt de ne surtout pas stériliser les sols.

 

 

Au passage, nous nous sommes arrêtés à un point de vue pour admirer le viaduc des Titans

et les courbes le long du village des Neyrolles

 

Le trait jaune c'est la combe de Léchaud

(Je vous invite à cliquer sur le lien).

Imaginez que dans 4 ou 5 ans quelques éoliennes de 220 mètres de haut la dominent.

Percée de routes pour la construction , les sols stérilisés par les blocs de ciment pour les ancrages

(la taille environ d'une grande piscine par éolienne),

et la combe aura perdu non seulement tout son charme mais aussi son âme et sans doute

d'immense dégâts dans son système hydraulique

qui fait ce qu'elle est actuellement : fleurs rares, tourbières...

Le contemplateur.

Nous sommes enfin arrivés sur les Monts d'Ain, à environ 1100 m d'altitude.

Retour à l'accueil