J'avais survécu à 30 cm de neige, 

je devrais survivre à un terrain nettement plus plat.

Les bords du Rhône et quelques passages un peu plus bossus à partir de Brens,

pour atterrir dans ce petit hameau.

Heureusement qu'il y avait les cygnes

car le paysage sous le ciel plutôt gris était un peu monotone.

Plein de moucherons me tournaient autour qui devraient faire le régal des oiseaux.

 

 

 

 

 

 

Bien entendu, Mira a trouvé le moyen de dénicher sur le bord

la dépouille d'un cygne mort et tout gonflé. 

Ouf, sur mes hurlements, elle l'a abandonnée !!!

Après un barrage hydro-électrique,

J'ai donc quitté un peu plus loin le Rhône pour arriver à Brens

 

En me retournant, le Grand Colombier.

Le chemin était mal indiqué et la carte s'est révélée nécessaire

pour suivre ce GR 59.

Sur ma droite de belles vaches noires de race Angus,

derrière leur clôture électrique. Mais quelle ne fut pas ma surprise

de voir que le fil s'arrêtait net. Probablement s'étaient-elles échappées.

 

 

Quelques petits chemins plus loin

ainsi que sous les hurlements terrifiants de cinq chiens de garde

derrière une simple clôture électrique, je suis arrivée sur un pont 

qui enjambait le Furans.

 

De retour dans des chemins et quelques bosses plus loin, j'étais en vue de Peyzieu.

3 heures 20 de marche avec mon sac de 6 kg cette fois.

On passe du vert des prés

Au brun des labours

 

 

Retour à l'accueil