La question restait entière... Verrait-on le Mt Blanc ?

Rien n'est jamais assuré et quand on monte, on guette.

Cette fois nous avons eu le sourire : au-dessus d'une mer de brume, il dépassait largement,

souriant de toute sa beauté et de ses neiges éternelles.

Nous commençons à longer les pistes de ski de fond récemment tracées.

 

Ce passage au milieu des vieux arbres est toujours aussi beau.

Rien n'est visible au-dessous, cela semble presque irréel.

Le Mont Blanc flotte comme un énorme bateau sur la mer grise.

A moins que ce ne soit un iceberg géant.

C'est un autre monde.

 

La tournette qui domine le lac d'Annecy.

La langue de brouillard vient lécher les pentes du Grand Colombier

 

 

 

 

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