La pluie avait remplacé la neige, il faisait moins froid mais cette pluie était très désagréable à subir

et à ce jour, mes chevaux n'ont pas encore retrouvé leur abri d'hiver:

il n'est pas encore libéré du troupeau de vaches. Alors, en attendant, ils sont bien obligés de faire contre mauvaise fortune bon cœur.

Je les aide en leur donnant grain et foin.  Sous la neige, il y a de l'herbe et ils savent la dégager avec le nez ou la patte.

Ils ne mourront pas de faim, c'est sûr !

De la fenêtre de mon bureau, je peux les voir et les observer, c'est le petit côté champêtre de ma profession.

D'abord, ils broutaient gentiment (photos prises au travers de la vitre)

Aramis vient de mordre Shiloh et j'ai loupé d'un quart de seconde la ruade mais on voit Aramis qui l'évite.

J'ai ouvert la fenêtre ce qui fait peur à la jument, Aramis a henni de joie... Chouette des gâteries en perspective !

Il vaut mieux se sauver pense-t-elle...

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